Par Alain Beretz, président de l'Université de Strasbourg
Depuis trois ans naissent, en France, des Pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) qui permettent aux universités de se fédérer entre elles et avec d'autres acteurs. Dans un contexte de compétitivité, elles y trouvent des atouts pour renforcer leurs performances et corrélativement leur attractivité. La plupart des grandes universités françaises se sont lancées dans cette restructuration.
Les établissements d'enseignement supérieur et de recherche - universités, mais également organismes, grandes écoles, etc. engagent ainsi leurs moyens dans un projet commun, car leur vocation, en créant ces PRES, est de piloter et de mettre en synergie plusieurs actions, comme, par exemple, coordonner les formations doctorales, mutualiser des activités de support, développer les approches communes d'enjeux partagés, tels que l'apprentissage du français pour les étudiants étrangers ou la mise en place d'observatoires de l'emploi et de l'insertion professionnelle des étudiants, renforcer les partenariats académiques et de recherche, en assurer la promotion, notamment au niveau international, décliner les activités de recherche et d'enseignement supérieur d'un pôle de compétitivité, accroître les activités de valorisation et les relations avec le monde de l'entreprise. Mais ne nous y trompons pas : loin d'être des structures purement techniques, ces pôles doivent être avant tout porteurs d'un projet et d'une identité.
Qu'en est-il de Strasbourg et de l'Alsace? Sommes-nous en retard ? Faut-il s'en inquiéter ?
Certains de ces PRES sont la préfiguration d'une fusion, c'est pourquoi ils prennent le nom d'« université ». Les trois universités strasbourgeoises n'ont pas choisi cette voie ; en s'accordant autour d'une stratégie ambitieuse, elles ont de suite fusionné. L'Université de Strasbourg, née le 1er janvier 2009, est donc déjà largement au-delà d'un PRES ! Faut-il pour autant s'arrêter là ?
C'est certain, l'énergie qu'a coûtée, et que coûte encore, le chantier de la nouvelle Université de Strasbourg devrait nous inciter à marquer le pas. Pour consolider l'œuvre entreprise et assurer la première année de fonctionnement, quelle mobilisation des personnels, des enseignants-chercheurs et des étudiants ! A tous ceux qui se sont impliqués dans ce fantastique projet, nous devons de ne prendre de nouvelles initiatives que sous deux conditions essentielles : ne pas remettre en cause les acquis de la toute jeune université de Strasbourg, et ne pas créer de charges ou de contraintes supplémentaires pour tous les acteurs de notre communauté.
Cependant, en raison même de son importance, l'Université de Strasbourg, doit, tout naturellement, sans qu'il s'agisse d'une revendication ni d'une volonté d'hégémonie, jouer un rôle d'animation et de fédération de l'enseignement supérieur et de la recherche en Alsace. Cette vocation procède aussi de la cité dont elle est indissociable. Strasbourg étant appelée à devenir une métropole régionale, son université se doit donc de porter une démarche métropolitaine à la hauteur de cette ambition. Il est donc de la responsabilité de l'Université de Strasbourg de se saisir d'un nouveau défi : la création d'un « cluster » ou grappe régionale de la recherche et de l'enseignement supérieur.
L'Alsace, petite région par sa taille et son nombre d'habitants, est toutefois riche d'un potentiel unique. La densité d'établissements d'enseignement supérieur et de recherche sur un territoire aussi réduit fait d'elle une région de pointe appelée à l'excellence. La présence du CNRS et de l'Inserm sur le site de Strasbourg a généré des synergies avec l'université qui constituent une force de recherche de premier plan en France. Pour mieux répondre aux défis d'aujourd'hui et profiter pleinement de la dynamique née de la création de l'Université de Strasbourg, il convient de fédérer, autour de l'université, toutes ces formidables richesses afin de permettre des collaborations indispensables. Richesses, ai-je dit, mais aussi foisonnante diversité ; des Ecoles d'ingénieurs, au Conservatoire, de l'ENA aux Hôpitaux universitaires, en passant par l'INSA, une concentration probablement unique en France, sur un si petit espace, nous incite à proposer aujourd'hui une fédération de toutes ces forces. Pour refléter à la fois cette richesse et cette diversité, nous devons créer un réseau fonctionnel léger mais dynamique, regroupant tous ces acteurs, avec, au centre de ce réseau, une université forte et visible. Une telle structuration en deux niveaux complémentaires semble préférable à un PRES imité d'autres régions, peu lisible, administrativement lourd et complexe, et qui en adoptant le nom d'« université » ne ferait que brouiller les cartes. Ainsi nous serons cohérents avec notre dynamique et notre projet : progresser sans imiter, innover sans alourdir.
Lieu où s'élaborent une stratégie et une offre territoriale en matière d'enseignement supérieur et de recherche, moteur du développement d'une politique d'attractivité et de développement du territoire, ce cluster aura, entre autres objectifs, de fédérer les grands pôles de recherche et de formation, de générer des plate-formes et des équipements structurants, de porter des chaires d'excellence, d'animer un conseil scientifique régional. Il permettra de dessiner une carte concertée de l'offre de formation post-bac, en particulier professionnelle, de favoriser l'établissement de partenariats public-privé, et de permettre le développement d'une culture de l'innovation.
Dans ce cluster, l'Université de Haute-Alsace a bien entendu sa place toute naturelle. Mais c'est à elle qu'il revient aujourd'hui, à partir d'une analyse raisonnée de son rôle, de ses atouts et de ses responsabilités, de déterminer clairement la manière dont elle souhaite entrer dans cette dynamique.
Cette mise en réseau doit permettre aussi d'approfondir les liens avec l'Allemagne et la Suisse. Le réseau Eucor, dont nous fêtons les 20 ans, a vocation à relier les universités du Rhin supérieur*.Il constitue d'évidence le relais pour fédérer l'excellence qui se situe, de l'autre côté du Rhin parfois à moins d'une heure de Strasbourg.
Les enjeux culturels et sociétaux pour le poids majeur de Strasbourg et de l'Alsace dans l'espace européen de l'enseignement supérieur et de la recherche ne pourront être portés efficacement qu'au sein d'une structure légère, réactive, mais nouée et gouvernée. L'Université de Strasbourg doit y jouer pleinement son rôle, celui de moteur de ce cluster au service de ses acteurs et de toute une Région. Autonome depuis le 1er janvier 2009, notre université se veut aussi responsable. Or sa première responsabilité est de penser avec ambition à l'avenir de ses étudiants et de ses chercheurs. N'est-ce pas d'abord pour eux qu'il est urgent que devienne réalité un cluster d'enseignement supérieur et de recherche en Alsace ?
*Les universités de Bâle, Karlsruhe, Fribourg en Brisgau, Haute Alsace et Strasbourg
Rencontre avec Patrick Foulon, directeur du Collège doctoral européen - CDE.
Du fait de la fusion des universités, le Collège doctoral européen a t-il changé ?
Pour l'équipe il n'y a eu aucune incidence pour l'instant par contre notre position statutaire a évolué. Partant d'un service interuniversitaire, nous sommes devenus un service central. Côté finances, le CDE qui avait auparavant une comptabilité distincte émarge désormais à l'unité budgétaire de la recherche. Nous avions auparavant une vision globale avec des opérations pluriannuelles ce qui n'est plus le cas.
Quelles sont vos missions ?
Notre mission principale est de favoriser l'émergence de projets doctoraux de grande qualité essentiellement au niveau européen. La majorité des doctorants du CDE font leur thèse en co-tutelle avec deux établissements de rattachement. Nous enregistrons cette année une augmentation du nombre de doctorants avec 122 doctorants contre 100 l'an passé. 26% sont français, 54% européens et 20% viennent d'autres pays. Le CDE assure une formation doctorale de haut niveau en partenariat avec le Conseil de l'Europe. Nous proposons aux doctorants un programme spécifique multiculturel européen et développons des modules visant à développer leurs compétences professionnelles transversales.
Quel est l'enjeu du CDE ?
Le Collège doctoral européen participe fortement à l'attractivité du site de Strasbourg. Dans le contexte actuel de forte compétitivité entre les universités, les meilleurs étudiants font leur choix selon certains critères majeurs : l'excellence scientifique prime mais la qualité de l'accueil, de l'encadrement et les aides financières (bourses, aides à la mobilité) proposées sont examinées. Au CDE, nous offrons quelques bourses « relais » qui font le lien entre les dispositifs de financements des différents pays.
L'autre enjeu est bien sûr d'attirer plus d'enseignants-chercheurs d'excellence à Strasbourg.
Votre spécificité ?
Le CDE a servi de terrain d'expérimentation pour comparer les pratiques d'encadrement doctoral dans le but de rapprocher les pratiques. La co-tutelle, et donc le double encadrement avec un programme de formation bien structuré sont des facteurs de réussite et de temps gagné pour le doctorant.
Vos priorités ? Vos chantiers actuels ?
Le travail statutaire est derrière nous. Il a été réalisé principalement par Jean Déroche et Véronique Muller Schlatter, notre responsable administrative. Ce chantier de 4 mois a permis de sortir les nouveaux statuts, le règlement intérieur du CDE et de la résidence, la composition du CA et du CS.
Nos priorités sont de 4 ordres :
Comment voyez-vous le CDE évoluer ?
Plusieurs options sont possibles selon les décisions politiques qui seront prises. Celle que je soutiens serait que le CDE double ses effectifs doctorants, devienne un lieu de fort rayonnement scientifique, s'ouvre sur l'accueil de post-doctorants et qu'il soit le cadre de mesures pour l'excellence (chaires, bourses, etc .)
Propos recueillis par Agnès Villanueva
Le classement de Shanghai 2009 présenté le 4 novembre place l'Université de Strasbourg, dans le domaine de la chimie, au 15e rang mondial et au 1er rang des universités françaises.
La nouveauté de cette années est donc un classement par discipline. Par contre le top 10 des universités mondiales reste inchangé par rapport à l'année dernière : sont situées en tête du classement les universités américaines et britanniques avec en première position les universités de Harvard, Stanford, Berkeley et Cambridge.
23 établissements français d'enseignement supérieur figurent dans le classement des 500 meilleures au monde, positionnant la France à la 5e place des nations. Trois établissements sont présents dans le top 100 : Paris-VI (UPMC), Paris-XI Sud et l'ENS Paris. Derrière le trio des parisiennes, d'autres françaises tirent leur épingle du jeu. Strasbourg, Paris-VII, Grenoble-I et Paris-V s'installent entre la 100e et 200e place.
Le classement académique des universités mondiales ou classement de Shanghai est un classement des principales universités mondiales, établi par des chercheurs de l'université Jiao-Tong de Shanghai en Chine. Ces institutions sont classées selon six critères (voir ci-dessous) comme le nombre de publications dans deux revues scientifiques et le nombre de prix Nobel attribués aux élèves et aux équipes pédagogiques. Les créateurs du classement soulignent eux-mêmes certaines de ses limites, notamment un biais en faveur des pays anglophones et des institutions de grande taille et les difficultés à définir des indicateurs adéquats pour classer les universités spécialisées dans les sciences sociales.
Critères de classement
Tout le monde connaît Nabuco, le logiciel de gestion qui permet à l'université de gérer ses opérations financières depuis plusieurs années. Diffusé par l'Amue (Agence de mutualisation des universités), ce produit est en fin de vie et sa maintenance sera stoppée à la fin de l'année 2010. Son remplaçant, SIFAC (Système d'information financier analytique et comptable), a déjà été déployé dans environ 72 établissements universitaires. L'Université de Strasbourg fera partie de la 4e vague. « Cela nous évitera sans doute d'essuyer les plâtres », précise Frédéric Dehan, secrétaire général adjoint chargé des ressources, chef de projet SIFAC.
SIFAC n'est d'ailleurs pas un remplaçant à l'identique de Nabuco, dont les fonctionnalités ne permettaient pas de prendre en compte les exigences liées au passage à l'autonomie des universités, notamment en termes de comptabilité analytique.
Or la mise en place d'une comptabilité analytique constitue un préalable indispensable au développement d'une démarche de pilotage, en permettant une réflexion par centre de coûts et de profits. SIFAC permettra également la dématérialisation de certaines pièces comptables : mandats de dépense et titres de recette seront supprimés sous leur forme papier, au bénéfice d'un système de validation électronique. De même, ce progiciel autorisera une comptabilité de la dépense à partir du service fait, et non plus, comme c'est le cas aujourd'hui, à partir de la réception de la facture. « La connaissance de l'encours de dettes le plus en amont possible permet de connaître ses marges de manœuvre, et donc de concrétiser le pilotage », commente Frédéric Dehan. Enfin, il permettra à l'université d'améliorer au sens large sa qualité comptable, permettant ainsi de faciliter la certification des comptes, obligatoire depuis le passage aux responsabilités et compétences élargies.
Une révolution culturelle ?
« Mais il ne faudrait pas limiter le projet SIFAC au déploiement d'un nouvel outil informatique, explique Serge Saettel, chef de projet opérationnel SIFAC. C'est aussi un changement des procédures, des savoir-faire qui va impacter le travail de l'ensemble des personnels impliqués dans la chaîne financière et comptable. » Par exemple, un service facturier sera placé désormais auprès de l'Agence comptable : les factures qui transitent aujourd'hui par les services, les composantes, seront toutes dirigées vers ce point unique d'entrée.
L'Université de Strasbourg s'est engagée dans le projet SIFAC en mai dernier. Un comité de pilotage (3 vice-présidents, le secrétaire général, le directeur du service financier, le SGA aux ressources, l'agent comptable), un comité opérationnel avec des représentants des composantes et des services, et des groupes de travail, fonctionnent depuis le mois de septembre. Le dialogue est ouvert avec l'Amue pour permettre la personnalisation du progiciel pour l'université strasbourgeoise, les architectures budgétaires et analytiques devant être remontées pour la fin février 2010. Cette version personnalisée devrait être déployée en juin. A partir de septembre, seront mis en place des vagues de formation des personnels concernés. L'objectif est de basculer totalement vers SIFAC au 1er janvier 2011.
Cette petite révolution culturelle étant réellement complexe, l'université s'est adjoint les services de consultants, la société IBM, pour l'accompagner sur le volet conduite du changement du projet. Entre le 23 et le 27 novembre, les consultants d'IBM réaliseront un certain nombre d'entretiens auprès de responsables de services et de composantes.
La réussite de ce projet est l'affaire de toute l'université, c'est pourquoi une diffusion régulière d'informations sera faite pendant toute la période de déploiement de SIFAC.
Caroline Laplane
Le classement 2009 du Center for Higher Education a de nouveau consacré l'enseignement des mathématiques à Strasbourg. Les masters et l'école doctorale de mathématique sont placés dans le groupe d'excellence de ce classement européen, pour 4 des 9 critères que comporte le classement :
Le classement du CHE est publié chaque année sur le site web du journal "Die Zeit".
L'info sur le site web de l'IRMA
Le classement
Pour en savoir plus sur la méthodologie
Téléchargez l'appel à candidature au poste de chef du département Service réseaux communication de l'IUT de Haguenau.
Attention : les candidatures devront parvenir pour le vendredi 20 novembre 2009 à 16 heures au plus tard au secrétariat général de l'IUT.
Le Pass'Sport Santé est matérialisé par un livret. Lequel permet d'assurer un suivi d'un étudiant ou un personnel de l'Université de Strasbourg en « méforme », de proposer un programme à partir des nombreuses activités du Suaps, mais également à partir de cours donnés par des intervenants extérieurs : sophrologie, nutrition, qi gong, yoga...
Suite au Colloque Sport et Santé qui a réuni l'ensemble des centres sportifs universitaires de France à Strasbourg en 2006, le Pass'Sport a été initié par Marie-Paule Missoffe du Suaps et affiné au fil des années par des étudiants co-auteurs.
Le concept : le livret permet un suivi de la forme sur 6 semaines minimum grâce, entre autre, à des tests sur un vélo à progrès (8 à 10 minutes d'exercices par paliers). Selon les résultats, un programme est établi à partir des activités du Suaps et tient compte par exemple du planning des études...
Des séances spécifiques sont également proposées le samedi matin sur des thèmes tels que « Déstresser avant un examen », « Apprendre à se tenir sur une chaise »...
Les avantages du Pass'Sport Santé
Renseignez-vous : marie-paule.missoffe@unistra.fr !
http://suaps.unistra.fr
Fanny Del
Plusieurs événements organisés par le Suaps :
Vendredi le 20 novembre au CSU à partir de 20h
Danse de couples (rock, valses, tango, pasodoble, salsa, merengue, chacha...) ouvert à toutes les personnes de l'université aimant et pratiquant la danse à deux, ayant règlé le droit sport
deux journéespour découvrir plein de danses différentes: salsa, danse africaine,
Jeudi et vendredi 26 et 27 novembre de 12h à 20h.
Danse indienne sacrée, danse bollywood, danse tahitienne, valses, hip hop et autres danses branchées, danse jazz danse contemporaine...
Petit spectacle gratuit en salle de danse le jeudi soir vers 20h 15.
Participation aux ateliers 2 € par demi-journée et possibilité de faire autant d'ateliers que l'on veut...
Vendredi 4 et samedi 5 décembre
Stages encadrés par Catherine Philippi et ses étudiants de niveau avancé.
Initiations aux danses à l'intention des personnels.
Contact : Catherine.Philippi@siuaps.u-strasbg.fr
Le Service universitaire de médecine préventive et de promotion de la santé (SUMPS) s'engage chaque année aux côtés des associations à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre le SIDA du 1er décembre, en organisant des actions d'information et de sensibilisation des étudiants aux risques d'infection par le VIH et les hépatites et en favorisant l'accès au dépistage.
Campus de l'Esplanade : au SUMPS 6, rue de Palerme
Campus Sud d'Illkirch Graffenstaden : IUT Robert Schuman
Campus Nord Schiltigheim-Cronenbourg : IUT Louis Pasteur
IUT de Haguenau
Pour toute information complémentaire vous pouvez contacter :
Bernadette Payot
SUMPS - 6 rue de Palerme - 67000 Strasbourg
Tél. 03 68 85 50 33
Courriel : bernadette.payot@unistra.fr
La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Valérie Pécresse, a inauguré le 6 novembre 2009 l'exposition « Opération Campus » à la Cité internationale universitaire de Paris, en présence des étudiants et des professeurs des Ecoles d'architecture et d'ingénieurs qui ont imaginé les Campus de demain, mais aussi des porteurs de projets des 12 Campus labellisés.
Elle a annoncé à cette occasion la création d'un « atelier des campus universitaires ». Ce groupe de travail qui sera piloté par son ministère, sera chargé de veiller, d'ici à février prochain, à la qualité d'aménagement des schémas de chaque Campus, et aux modalités de leur mise en œuvre.
Communiqué de presse
Discours
Dossier de presse de l'exposition Campus
Les conseillers Espace Avenir du domaine Droit, économie, gestion et sciences politiques vous accueillent désormais au Patio
L'Espace Avenir, service d'orientation et d'insertion professionnelle de l'université, accueillait jusqu'à maintenant le public sur trois sites :
A terme, ces trois accueils se regrouperont dans l'annexe du Patio, actuellement en construction.
Pour l'heure, l'accueil de l'Espace Avenir Droit, économie, gestion, sciences politiques a rejoint celui des domaines Arts, lettres, langues / Sciences humaines et sociales dans le bâtiment Le Patio - 22 rue René Descartes.
Les horaires restent inchangés :
Pour tout renseignement, contacter :
ESPACE AVENIR
03 68 85 63 00
espace.avenir@unistra.fr
Les 1er et/ou 2 décembre 2009 auront lieu les élections aux conseils de 21 composantes de l'Université de Strasbourg :
Pour de plus amples informations, contactez la faculté, l'école ou l'institut dont vous dépendez.
La boutique de l'Université de Strasbourg s'est dotée d'objets dont vous pouvez faire l'acquisition auprès de :
Françoise Gast
Service de la communication
Tour de chimie
1 rue Blaise Pascal
Tél. 03 68 85 11 34
francoise.gast@unistra.fr
Vous pouvez vous les procurer en prestation interne en établissant un bon de commande à l'ordre du Service de la communication ou les acquérir à titre personnel (paiement par chèque ou espèces).
Prix HT | Prix TTC | |
Stylo bic | 0,42 | 0,50 |
Pack stylo/post-it | 0,83 | 1,00 |
Presse papier en verre | 23,00 | 27,50 |
Valisette PVC | 3,70 | 4,40 |
Porte documents en tissu | 5,22 | 6,25 |
Bloc 50 feuilles A4 | 1,04 | 1,24 |
Bloc 50 feuillles A5 | 0,42 | 0,50 |
Pochette cartonnée à rabat | 0,42 | 0,50 |
Echarpe | 20,90 | 25,00 |
D'autres objets, tels que parapluie golf et parapluie pliant, seront disponibles d'ici la fin de l'année et nous ne manquerons pas de vous en informer aussitôt.
Le principal enjeu consiste sans doute dans le déploiement d'une vraie politique culturelle, qui ne peut se limiter à un ensemble d'actions ponctuelles qui doivent animer le campus.
Envoyez nous vos informations à lactu@unistra.fr avant le 25 novembre à midi pour une parution le 27 novembre.
Consultez les dates des prochains numéros.